Le langage digital, à peine en âge de majorité est sans qu’on s’en aperçoive bien présent. Il dirige notre façon de lire internet, d’accrocher les concept ou bien encore de s’exprimer sur le web.
Là nous vous écrivons depuis un blog, c’est un premier exemple d’usage. C’est un peu comme la communication verbale et non verbale. Il y a le français, les mots, les paragraphes, mais aussi la façon de faire le titre, l’image, les liens. Comment nous connectons cet article au reste du monde digital.
Nos idées se publient, se mettent en forme, doivent suivre des flux.
C’est flux peut-être soit sur un site, soit sur un réseau social. Et là ca va vite, l’information est plus ou moins vérifiée, raccourcie, directe. Mais il ne faut pas oublier que notre message doit être compris de tous pour pouvoir être propagé, car ce qui compte c’est le nombre de followers, de j’aimes. La qualité est en fait des fois supplantée par la quantité.
Le site Harvard Business Review France répertorie plusieurs paramètres.
Le langage digital est :
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Social
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Informatif
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Immédiateté
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Augmenté
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Raccourcie
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Protéiforme
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Scénarisation
Quand il s’agit d’informations entre internautes, il n’y a rien de bien grave. Mettez-vous à la place de l’annonceur qui veut une publicité non pas pour la TV, mais pour toucher nos ados. Comment s’y prendre ?
Là encore le marketeur a besoin de bien surfer sur la vague, car le langage évolue au rythme des usages. Les usages évoluent au rythme des start-ups qui nous offrent des services disruptifs.
- Par exemple, hier il était sur ordinateur, aujourd’hui sur smartphone, quel sera le support de demain ? Avant les sms et twitter, qui essayait de réduire ses communications ? Ce qui a donné le langage sms ou bien encore nos tweets de 140 caractères.
Heureusement que des études sont faites pour nous faire un état de la réalité. Car si on veut faire des bonnes publicités ciblées, il faut évaluer la qualité de ce langage.
Les gens communiquent avec des smileys, des enregistrements vocaux, autour ou loin d’eux. Pourtant ce qui nous paraît trivial, devient important pour les entreprise. Important en interne pour l’image que veut se donner la marque, elle se raconte elle même.
- Par exemple, il est impossible que le patron d’une start-up californienne soit filmé et diffusé en costume cravate.
Important vers le monde exterieur, Mc Donald est passé de rouge à vert. Vert c’est plus écolo, donc plus “hype”.
Voici un PDF qui vous donnera d’autres exemples par un professionnel : Cliquez-ici
NB: Cet auteur a publié en Septembre 2017, le 2ème baromètre du langage digital. Tout le monde en parle, mais n’ayant pas trouvé, on ne pourra pas vous y diriger.
Pour conclure, le langage digital est ce que l’on veut bien en faire. Soyez prescripteur, ne vous inquiétez pas les annonceurs seront suiveurs, ce qui est assez rare pour être relevé.